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Notre ami Gerard et sa femme à Paris, une des dernières image.Gerard était l'ami de tous par sa gentillesse, et sa franche camaraderie des premier à adhérer à l'amicale, toujours présent aux AG. il va beaucoup nous manquer. . Nous ne t'oublierons pas Gérard. Repose en Paix !

Notre ami Gerard et sa femme à Paris, une des dernières image.Gerard était l'ami de tous par sa gentillesse, et sa franche camaraderie des premier à adhérer à l'amicale, toujours présent aux AG. il va beaucoup nous manquer. . Nous ne t'oublierons pas Gérard. Repose en Paix !

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Published by francis.mauro

Retour à Sididjemil le Samedi 7 juin 2014..

Aujourd’Hui mon pèlerinage à sididjemil .Il est 10 h du matin .. nous voilà parti pour sididjemil dans les montagnes . et malgré que j’y suis déjà allé en 2010 nous avons eu un peu de mal à retrouver l’endroit , qui il est vrai , est bien caché sur les hauteurs d’une colline . je suis excité ,je descends de voiture . et je commence à grimper la colline vers là ou se trouve le camp , mais quel bonheur .mais quel bonheur . je redeviens le petit garçon qui courait dans ces montagnes je suis en short. j’avance a grands pas je ne me rends pas compte que des broussailles et des chardons me griffent les jambes . les mollets .les cuisses . mais je ne ressens rien . je vois le sang couler de ces égratignures . je ne ressens rien! non rien . ce sont simplement des caresses , comme si ma peau s’était soudainement déconnecté de la douleur , je me fous de cela , ce qui compte c’est d’arriver là haut . sa sent bon les fleurs sauvages . je suis à nouveau avec mon papa . et nous courons derrière les sangliers . àh !mon papa viens, on ne repartira plus jamais car ici est notre vie , je regarde de partout à la fois , taiooo!!! taiooo !!!. aoujeck ! aoujeckk !!( le voilà ! ) te rappelle tu papa de cette journée ou nous étions là . à sididjemil il pleuvait . dans les broussailles retentissaient les cris des chasseurs qui annonçaient qu’un sanglier allait sortir dans le ravin plus bas . et toi papa tu t’étais mit à courir sans t’occuper de moi , car tu voulais lui couper la route et court et court et court . et moi qui portait les cartouches je courais derrière toi. Et plus la peur que je me perde sa me donnait des ailes . et puis je le vois ce sanglier il était énorme qui sort des broussailles , aujourd’ hui encore je le vois galoper a travers le petit morceau de plaine . la pluie redoublait , il faisait tout de même chaud ,nous transpirions . mais voilà il est sorti trop loin devant nous et jamais j’oublierai cet instant photo ou le sanglier courait et courait . toi tu avais tiré tout en sachant que tu étais trop loin et bien sur tu l’avais raté et tu t’étais mit à jurer en arabe ah ah ah , papa mon héros comme on était bien ce jour là .s’il vous plait mon ange ne me laissez plus partir de Sididjemil !, je grimpe sur un mur de pierres . je regarde autour de moi , je voudrais tout tenir dans mes bras car je le sais je le sens cet endroit me reconnaît . nous nous appartenons je casse quelques broussailles , je broye quelques feuilles dans mes mains pour mieux lui dire * tu vois nous sommes toujours l’un à l’autre * oui je suis à nouveau l’enfant sauvage de Sididjemil .Ne me donnez rien car ici j’ai tout ! j’ai emmené avec moi une photo de mon papa sur laquelle il est tenant un vautour tué en 1960 , je la tends devant moi et je laisse aller à haute voix , afin que retentisse dans nos montagnes mon appel au secours . au secours de 50 années de séparation qui n’ont pas entaché notre fidélité et notre amour . et je parle .et je parle , au milieu des larmes , des pleurs , ma voix!ah oui , je dois la forcer pour crier ma douleur et mon bonheur , car sididjemil je crois pas que quelqu’un t’aime comme je t’aime .et je dis * tu te souviens papa comme c’était bien . quand on courait derrière les sangliers ,quand nous mangions notre boite de sardines avec un morceau de pain, assis sous les oliviers en écoutant le chant des chardonnerets et autres oiseaux , tu te souviens mon papa ? * j,ai tellement de choses à dire . je tiens devant moi la photo et je la montre à ces montagnes afin qu’elles sachent bien que nous ne les avons jamais oublié dans notre éxil .mais combien de temps devrai-je parler pour compenser 50 ans . les paroles , les pleurs , mes cris je le sais en ce moment ne sont que ma façon à moi d’exprimer ma souffrance , et ma douleur de vous avoir quitté ,vous mes montagnes de sididjemil .et puis je lâche la photo dans les broussailles , et le vent l’emporte de branches en branches . je la regarde aller et je me dis ,oui je me dis * tiens ! voilà papa te voilà déjà reparti à courir derrière les sangliers ?. * et cela m’emmène à sourire et me permet de me rendre compte que mon visage est couvert de larmes . alors ben !! avec ma main je les essuie . larmes de joie .larmes d’amour car jamais sididjemil je ne t’oublierai .je réalise que mes amis Algériens sont là . avec moi je voudrais que jamais ce moment ne finisse . je descends la piste de terre . je regarde ce chemin de terre bordé de ces grands eucalyptus qui nous ont si souvent vu passer . . je décide d’aller à la source de sididdjemil et au marabout . cette source n’a pas changé. Les gens du coin toujours viennent là s’approvisionner en eau . un bassin de ciment ou coule impertubable du temps l’eau de sididjemil , je bois . mille pensées me passent par la tête car ici aussi mon papa à but à ce robinet . . dans ce coin sauvage que le soleil écrase de ses rayons . Je pars pour le marabout . je passe devant ce qui s’appelle * l’olivier du marabout * et comme le font depuis toujours les croyants j’accroche un morceau de chiffon à l’olivier et je demande une faveur . un instant je me dis * pourquoi la plus part des gens courent après la richesse et le pouvoir ? * mais ils n’ont rien comrprit . aller je chasse vite ces pensées qui ne me concernent pas . moi je suis à sididjemil et je suis l’homme le plus riche du monde , je pars pour le marabout . ce monument en pleine forêt de couleur blanc chaux et bleu très clair ou repose le marabout sididjemil . j’entre dans le tombeau . sur son cercueil se trouvent des morceaux de chiffon de toutes couleur .laissé là par les croyants . alors je décide moi aussi de lui laisser un message et j’écris la première chose qui me vient en tête sur bout de papier * Merci marabout de me permettre de revenir chez moi dans mon pays * et je le dépose sur le cercueil que je caresse. je n’ai jamais eu peur des morts . alors encore et encore je caresse le cercueil , et je suis bien oui bien! . de moi se dégage un immense respect pour cet homme . que je ressens être bon et plein d’amour . sa s’explique pas. ainsi sont les choses .il faut quitter sididjemil . aie comme c’est dur . je le dis à mon ami A * tu sais il faudrait pas grand-chose pour que je reste pour toujours ici dans ces montagnes ,j’y ai tout , oui je pourrais vivre là * je te regarde je sais que tu me comprends mon bon ami A .ah oui à l’année prochaine sididjemil . oh que oui attends moi je ne te quitte pas . je te reviens.

Gégé de Sididjemil

Merci Gégé, pour tous ceux qui ne peuvent pas faire ce beau voyage. le webmaster .FM

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Published by francis.mauro

Bientôt le salon de l’auto…Alors je t’envoie la  photo de la jeep radio du lt colonel ODDO. Maurice Muller en était le chauffeur et comme on peut le voir,  cette jeep était bichonnée.   Je pense que cette photo date fin 1959 début 1960.   Amicales pensées de Paul Lecocq.

Bientôt le salon de l’auto…Alors je t’envoie la photo de la jeep radio du lt colonel ODDO. Maurice Muller en était le chauffeur et comme on peut le voir, cette jeep était bichonnée. Je pense que cette photo date fin 1959 début 1960. Amicales pensées de Paul Lecocq.

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Published by francis.mauro

Pour adhérer à l’amicale du 4e régiment de hussards ?

Rien de plus simple :

Sur la page d’accueil, vous cliquez sur le mot PAGE sur la première ligne à gauche, et ensuite vous recliquez au-dessous sur ADHERER A, vous allez voir s’ouvrir un texte vous expliquant le processus pour devenir membre de notre amicale, ouverte à tous anciens hussards et sympathisants s’il y a lieu. Toutes les bonnes volontés sont admises. MERCI d’ADHÉRER à notre amicale, vous n’en aurez aucun regret.

Parole de hussard.

Votre webmaster toujours à votre service.FM

Pour tous vos messages un seul courriel :

mauro.francis@neuf.fr

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Published by francis.mauro

ON VA À LA CHASSE AUX PERDREAUX ET ON TOMBE SUR LES FELLAGHAS.

C’ÉTAIT UN JEUDI JE ME RAPPELLE TRES BIEN AU MOIS D,AOUT en 1960. et avec mon père on avait décidé de partir à la chasse aux perdreaux à sidi Djémil , mon oncle marcelin ,le frère de ma mère . et deux autres amis à mon père dont je ne me rappelle plus les noms étaient venus avec nous . nous étions donc 5, mon oncle et les deux autres chasseurs partaient avec la 4L , et mon père et moi avec le side car . il était environ 6 heures du matin , . l’air frais avant la grande chaleur était si bon , . on passe donc par Duzerville . Mondovi et après 2 heures nous voilà à la SAS de sidi Djémil .. le temps de nous enregistrer avec les militaires afin que en entendant les coups de fusils ils ne pensent pas que c’était les felouzes .( si on avait su ce qui nous attendait)et on descend,car la SAS était sur une colline , en pleine montagne comme je l’ai déjà dis , ah mes enfants que c’était beau . le soleil commençait à se lever haut dans le ciel , un ciel bleu comme on en à chez nous en Algérie , sa sentait bon , un mélange de fleurs sauvages , et d’herbes odorantes .des terres sauvages à perte de vue . mon père avait son calibre 12 et moi je portais la gibecière, une espèce de grande courroie de cuir large de 10 cm avec des nœuds de cuir dans lesquels on passait la tête des perdreaux . et nous voilà tous les 5 qui nous éloignons de la SAS .on fait environ 3 km et là on tombe sur une compagnie de perdreaux . ah mes amis avez-vous déjà entendu ça se lever , sa fait un bruit de branches d’arbres qu’on agite fortement cela mêlé aux cris des oiseaux ,non la grande zorra toi t’a pas connut ça . comme ils sont beaux avec leur plumes grises , et rouge . le bec rouge . et pan !!pan !!sa tire dans la compagnie et me voilà avec 3 perdreaux attachés sur mon collier autour des épaules .

Là ,on décide, vu que la compagnie de perdreaux s’était dispersée , d’en faire de même .et donc mon oncle et les deux autres partent de leur côté , et mon père et moi de notre côté. , .au bout d’une heure, aie, aie ! il commençait à faire une putain de chaleur , on entends pas mal de coups de fusils . mon père me dit et je m’en souviens comme si c’était aujourd’hui , ! diocane ton oncle ils sont tombés sur les perdreaux et nous on fait les couillons ici . viens on va vers eux . et soudain une détonation très forte , mon père me dit . diocane ( eh oui je sais sa revenait souvent dans la conversation ) y en a un qui a dû éclater son fusil .( et non c’était la première grenade ) et nous voilà à partir en courant vers mon oncle , et les deux autres chasseurs , pour cela on devait monter un petit monticule , il y avait des petites broussailles , et de l’herbe brûlée par le soleil d’aout . arrivé en haut . on voit plus mon oncle et les deux chasseurs, mais à environ 500 mètres ,5 hommes habillés en kaki qui viennent vers nous en courant . mon père oui je le revois encore. tout est gravé dans ma mémoire à jamais , ( une chance jeannot mon père connaissait la montagne comme sa poche ) y regarde bien car le soleil était aveuglant . .il prend le temps de bien regarder et il me dis , ouille mon mon fils C’,est les fellaghas !!! les felouzes avaient commencé à tirer sur mon oncle ,mais en voyant mon père et moi ils ont dû se dire, là, ya un enfant ( j,avais 11 ans ( ceux là on va les avoir . ) alors là ce fut le sauve-qui-peut . on se met à courir . dans le sens contraire et là mes amis les balles sa sifflaient de tout les côtés , je me rappelle mon père y me disait ,ai pas peur mon fils , tu sais quand les balles font zipppppp sa veut dire qu’,elles passent loin . si sa fait tac , là c’,est que sa passe près . et des tacs j’en ai entendu . . Et on court, mon père me tenait la main , et les felouzes y nous lâchaient pas , en avant à coup de mitraillette ra ta ta ta ta sa faisait je dis à mon père,# papa les perdreaux c,est lourd # il me dit # jette les perdreaux, mais garde les cartouches #. . Et on court . et les balles sifflent, quelquefois les felouzes nous criaient , rendez-vous et et des fois . à mort . à mort !.je me rappelle mon père avait sorti une photo d’un curé italien padre piu( la photo, nous l’avons toujours) qui avait les mêmes Stigmates que le Christ . dont les mains saignaient . bref moi comme vous le savez, je suis un non croyant mais bref papa avait la photo dans ses mains et tous en courant , il disait seigneur faite qu’on s’en sort et je retourne plus à la chasse ( tu parle !! dés le dimanche suivant il était reparti ) à un moment donné ,on avait soif car on avait perdu nos gourdes, on arrive dans un espèce de marécage et on à bu l’eau enfin je devrais dire de la boue , ( quand je pense que maintenant les enfants sa leur prends de l’eau en bouteille , !! )on était dans un état lamentable, les ronces nous arrachaient les vêtements . on était égratigné de partout, mais comme l’adrénaline sa y allait, on sentait . rien . par deux fois, dont une fois en plein dans un tas de poussières de charbon(vous vous rappelez les Arabes faisaient du charbon de bois) . donc par deux fois une grenade nous explose juste à côté de nous, demandez-moi pas pourquoi on est vivant . ce que je vous dis c’est ce qui fut . et la grenade qui explosa dans le charbon de bois nous fit tout noir , on en avait dans la bouche . partout . mais laisse que l’on court . on court . et dommage pour les felouzes, mais en ce temps-là je courais comme un lapin, eh !! toutes semaines à la chasse avec mon père j’avais l’entraînement et on était arrivé,. À leur mettre une bonne distance, en tout cas ,on entendait plus leurs cris . juste les balles qui sifflaient . à un moment mon papa y me dit # mon fils tu vois la SAS elle est dans cette direction , alors va toujours tout droit, et tu y arrivera , et moi donne moi les cartouches que tu as ,papa y va les retenir #, avec le temps je me suis aperçu que mon papa y voulait tout simplement me sauver la vie . merci papa, je t’aime !! mais moi en entendant cela, je me mets à pleurer # non je sais pas ou c,est, et puis je veux pas te laisser je vais me perdre . je connais pas la montagne# il faut dire qu’on était encore bien loin de la SAS . alors mon papa y me dit #ok mon fils, on court ensemble et tu verras, on va leur mettre bien bien# ( je cite) , et on se remet a courir toujours sous les balles qui sifflent cela à duré environ , 3 heures . on était dans un état lamentable. tout déchiré, sale , en sueur ,je crois même que des fois on courait plus, on marchait vite on était crevé , c’est drôle mais avec le recul je me dis, whahhh !!!!j’ai vécu quelques choses de grand et puis a 11 ans la conception de la mort n’est pas pareille, finalement, je me rappelle on devait approcher de la SAS ,car on entendait plus de coups de feu . et soudain on voit environ 25 militaires de la SAS qui viennent vers nous . Ce qui s’était passé, c’est que mon oncle et les deux autres chasseurs y étaient arrivés à la SAS et avaient prévenu le commandant que nous étions attaqués par les felouzes et que, sûrement on devait être mort . mon papa y parle avec les militaires ,de cela je me rappelle plus de la conversation , les militaires continuent vers ou étaient les felouzes , et nous 30 minutes après on rentrait à la SAS. mon oncle était sûr que l’on était mort . il devait être 14 heures . pas besoin de vous dire, on a embarqué fissa ,dans la voiture et le side car , et on est rentré à Bône à la cité Montplaisant . durant le trajet mon papa y me dit # surtout tu dis rien à ta mère # .Sauf que quand ma mère elle à vu comment j’étais, tout les vêtements déchirés , et plein d’ éraflures qui saignaient . elle m’a fait cracher le morceau . aie aie aie le scandale , qu’elle lui fait # .va te tuer toi !! mais pas les enfants, laisse-moi les enfants à la maison . si toi tu es fou de la chasse n’emmène pas ton fils#bref bref un scandale dans la maison je me rappelle que même rentré en France j’avais encore le tricot vert que je portais cette journée là mais avec le temps j’ai dû le perdre ,dommage je le gardais en souvenirs .mais bon comme il fallait survire il devait y avoir d’autres priorités .

Gégé du CANADA.

une belle histoire vraie. nous remercions Gérard pour cette première belle histoire.

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Published by francis.mauro

Ce serrait bien.

Oui ! ce serrait bien si les visiteurs de ce blog, nous faisaient le plaisir pour nous tous de raconter en quelques lignes un de leur souvenir sur un fait ou une personne avec qui ils ont partagé leur séjours là bas.

En nous donnant leur petite histoire sur un souvenir marquant, que ce fût un lieu, une action, un personnage, un ami, la population, le climat, bref, il doit bien avoir des souvenirs marquants que nous aimerions bien partager avec tout le monde sur le blog : car après nous il ne restera plus grand-chose.

Je sais que cela semble dur, mais il faut commencer, une fois en route tout ira bien j’en suis sûr.

Que vous soyez, anciens Hussards du 4e ou n’importe qui de n’importe quel régiment cela n’a pas d’importance, et même civil, le tout est de si mettre.

Pour cela, . je suis prêt à prendre vos écrits et les publier sur le blog (sur votre blog)

Le temps passe si vite, je vous demande à répondre à mon appelle et cela n’a aucun but commercial, je vous le garantis, c’est une simple curiosité d’en savoir toujours davantage sur notre guerre d’Algérie et de le partager avec le plus grand nombre.

Je sais que beaucoup gardent en eux des choses intéressantes.

(l’anonymat pourra être de mise si vous le désirez)

Je pense que vous pouvez me faire confiance depuis 2008 que je sévis sur ce blog, Parole de cavalier.

Par saint Georges ! vive la cavalerie !

Alors les visiteurs au boulot cela serrait bien.

La frontière Tunisienne n'est pas loin

La frontière Tunisienne n'est pas loin

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Published by francis.mauro

Arnaud Leblond Monsieur Mauro, ayant remis mon père a la lecture du blog de l’amicale cette après midi , il me charge de vous envoyer un petit message .

-Bonjour à tous, je me permets de vous livrer une petite anecdote;durant mon séjour en Algérie, le jour de paques 1958 dans l opération au napalm sur Sidi Djémil , il me revient toujours a la mémoire les paroles du commandant Guyot que je conduisait dans sa Jeep, dire au colonel Giraud :

-Nous gagnons la guerre ici, ils sont en train de la perdre à Paris !

Depuis ce temps , il m est resté une mince idée de la politique !

Bien amicalement à tous Michel Leblond.

Merci à l’amicale, cordialement Arnaud le fils et Michel le père adhèrent de l’amicale.

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Blog des amis du 4RH

Blog des amis du 4RH

"Blog d'un ancien sous officier d'active du 4e RH de 1956 à fin 1959. ce blog est un blog qui cherche à regrouper les anciens de ce régiment de la guerre d'Algérie à ceux à nos jours jusqu'en 2011. bienvenue à tous!"

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