MAGNIFIQUE POEME
Mémoire et
Poésie
Jadis j’ai dû m’enfuir de mon pays
Quand la France décida de lâcher l’Algérie
Et
si avec le temps les plaies se sont fermées
Leurs cicatrices, elles, ne peuvent s’effacer.
Aussi pour mes enfants, je demande au Messie
Que
jamais ils ne vivent une pareille tragédie.
Pourtant, lorsque je vois ces hordes de
Magrébins
Envahir notre sol par n’importe quel
moyen
Pour venir y chercher toute cette assistance
Qui
n’existe plus chez eux depuis l’indépendance,
Quand je vois qu’ils acquièrent cette nationalité
Qu’ils ont pourtant reniée il y a quelques années
Je
me pose une question qui me met mal à l’aise,
Combien de temps encore la France sera Française ?
Ils
occupent tour à tour l’ensemble des quartiers
Où
la police alors n’a plus le droit d’entrer,
Bien vite ils les transforment en ces fameux ghettos
Où
ils pillent les commerces et brulent les autos.
Marseille est devenu une base d’Al-Quaïda
Et
notre canebière le souk d’une casbah.
La
banlieue parisienne n’est pas plus épargnée
Partout règne le racket et l’insécurité.
Les
seuls européens qui s’obstinent à rester
Doivent se barricader sitôt la nuit
tombée.
Des
cités toutes entières leurs sont abandonnées
Dans l’attente qu’ils obtiennent les clefs de l’Élysée.
Lorsque notre président, en quête de
bulletins
Va
leur rendre visite, la veille des scrutins
Ils
bousculent sa voiture et crachent sur son costume
Et
l’obligent à partir plus vite que de coutume.
Ils
sifflent la Marseillaise au match de l’amitié
Et
brandissent les drapeaux du pays invité.
Puisqu’ils peuvent posséder deux nationalités
Ils
en changent à leur guise, suivant leurs intérêts
Pour les allocations, ce sont de vrais français,
Pour les obligations ils restent des étrangers.
Ils
respectent qu’une seule loi celle des islamistes
Et
suivent assidument la mode des intégristes,
Elles se coiffent du foulard, ils portent la barbouze
Et
pavoisent leur logis aux couleurs des fellouzes
Depuis quelques années ils sembleraient vouloir
Que
la France se décide à réécrire l’histoire.
On
enseigne pour se faire à notre descendance
Que
les pieds-noirs étaient des colons de la France
Qu’ils n’avaient pas de cœur et usaient d’un gourdin
Pour payer les salaires de chaque Magrébin.
Aujourd’hui les médias demandent à nos élus
Qu’une enquête soit faite sur ces moments vécus
Pour voir si notre armée a commis des
bavures
Et
condamner ceux qui pratiquaient la torture
Pour que ces terroristes veuillent leur divulguer
La
liste des attentats qu’ils devaient perpétrer.
Vouloir faire des victimes de nos ex-assassins
C’est en sorte approuver les crimes et les larcins
Qu’ils ont commis jadis sur ces gens innocents
Qui
voulaient conserver la terre de leurs parents.
Somme-nous tous amnésiques pour avoir oublié
Combien les F.L.N. ont fait d’atrocités ?
Serions-nous insensibles à tous ces attentats ?
Qui
ont été commis par ces vils fellaghas
Et
devons-nous ce jour, pour des raisons d’état
Pardonner les tueries de leur chef Ben Bella !
La
bombe de la Corniche, ou celle du Milk Bar
Et
ces assassinats empreints d’actes barbares
Ces
femmes étripées aux ventres empierrés
Tout près de leur fœtus qui était empalé.
Ces
milliers de Harkis qui furent assassinés
Sur
la place publique sans le moindre procès
Trahis et délaissés par le chef de la
France.
Ils
ont subi la mort dans d’atroces souffrances.
Ils
furent même désarmés avant l’indépendance
Afin qu’ils n’opposent pas la moindre résistance
Aux
couteaux des tueurs qui étaient impatients
De
pouvoir leur donner le suprême châtiment.
Aurions-nous oublié la date du 5 Juillet 1962
Et
les massacres commis après le cessez le feu ?
Ces
centaines d’Oranais qui furent exécutés
Devant l’armée française restée les bras croisés !
En
France, dans nos écoles, aucun livre d’histoire
Relate ces évènements vécus par les pieds noirs
On
transforme le passé à la gloire des vainqueurs
Qui
deviennent des martyrs à la place des tueurs
Oublier notre passé ou même le transformer
Serait une grave erreur qu’on pourrait regretter
Ne
baissons pas la garde, redoublons de méfiance
Si
nous ne voulons pas connaitre un jour en France
Une
prochaine débâcle vers d’autres horizons
Ou
vouloir accepter de changer de religion.
Ben
Bella l’avait dit, après la prise d’Alger
«
Nous devons remonter en France jusqu’à Poitiers ».
Hélas cette latitude est maintenant dépassée
Puisqu’aucun coin d’Europe ne se trouve épargné !
A
moins d’un revirement rapide et énergique
La
France deviendra vite république islamique
Par
le nombre des naissances ils auront l’avantage
Qui
leur fera gagner l’ensemble des suffrages
Ainsi sera mis fin à notre démocraties
Et
la France à son tour deviendra colonie.
Alors sera troqué l’angélus des clochers
Par
l’appel des imams en haut des minarets
Dès
lors, pour survivre, de même que nos aïeuls,
Nous aurons à choisir = la valise ou l’cercueil
Les
exemples sont nombreux et faciles à citer
Sur
toute la planète, nombreux sont les foyers
Où
des familles entières furent exterminées
Pour le simple prétexte qu’elles avaient refusé
D’accepter les contraintes de ces jeunes républiques
Qui
instaurent par la force la charia islamique.
Aussi la prochaine fois, lorsque vous serez appelés
Pour vous rendre aux urnes afin d’aller voter
Devenez l’électeur d’un second Charles Martel
Qui
renverra chez eux, au fond de leur djébel
Ceux qui viennent chez nous pour y défier la
France
En
réclamant sans cesse encore plus d’assistance
Afin que vos enfants ne subissent jamais
La
débâcle vécue par les pieds noirs Français
Le
livre a peut-être été refermé, mais son histoire
Est
restée gravée dans ma mémoire.
Un
Français déraciné