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Notre ami Robert Lesou, figure bien connue de notre amicale, se remet doucement d'un accident de 4X4.

Nous le  voyons ici l'œil observateur, comme au bon vieux temps ou il était au 4e RH.

Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.

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Je suis allé visiter le Musée des blindés à Saumur ,tres interessant ,beaucoup de materirel.je t'envoie quelques photos. La depanneuse de chars wrecker ,nous avions la meme à l'atelier ,un char M 24 decoupé de telle façon que l'on peut voir l'intérieur ,un M 24 maquillé en char allemand pour un film intitulé LA NEIGE ET LE FEU. à mettre sur le blog . toutes mes amities Gérard Gombert

M 24 découpé

M.24 découpé.

Depanneuse LA FRANCE
la dépanneuse.

 

 

M 24 MAQUILLE POUR UN FILM

le char du film.

De beaux souvenirs pour les hommes du 4e qui firent leur quotidien de vie avec ces engins de guerre, merci Gérard de ces belles images. (exemple à suivre)

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Published by francis.mauro - Images

 

 

De retour d'une petite escapade en Brenne, chez Mauricette Chabot épouse de notre ancien copain Michel Chabot du 4 RH, Je t'envoie des photos d'une fantasia à la sortie de Mondovie direction Barral.
Qui a souvenir de ce passage?
 

 

en place

C'est beau la cavalerie.

prêt pour la fantasia

En place pour la fantasia.

spahis

Cela change des EBR et Schaffée.

serrez les rangs

C'était quel que chose, le cheval et l'homme.

 ici vous avez vu un escadron de Spahis de passage à Barral venue saluer le chef de corps du 4e RH le Colonel Henri Giraud.

Tradition oblige!

Note de FM:j'ai souvenir de ce regiment de Spahis qui passa à Mondovi, musique en tête, très impressionnant, les tambours sur les chevaux, les trompettes derrière,puis le bruit des sabots sur la route, les mortiers, et mitrailleuses sur la croupe des chevaux. les hommes des africains en majorité, le regard fier regradant droit devant eux, donnaient une allure grandiose à ce cortège de notre belle armée d'Afrique.

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Bergot 3

image prise à Kef Drari.1958.

bergot 2

Paul Bergot à Kef Drari avec la mascotte du 3e peloton la chienne "laquille"

bergot 5

Ici devant les murettes de Sidi Djémil.

bergot 8

la première en haut, lavage du linge à la source de Sidi Djémil,

la première en bas, centre de la cour de Kef Drari, ensuite deux copains à Sidi Djémil, devant le PA N°1.

Nous remercions, Laurent Bergot,  fils de Paul Bergot pour ces images que son père lui avait confié avant son décés.

Certains anciens Hussards se souviendront de ce bon copain.

Qu'il repose en Paix !

 

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souvenir

 

« Le souvenir     français »avec la ville de Moreuil (somme)

 

Organise : le dimanche 28 octobre 2012

 

 Le 3e salon des auteurs dans le centre culturel  situé face à l’église.

 

L’auteur Francis Mauro sera présent pour dédicacer son nouveau livre « Les illusion de Max »

 

Un ouvrage de 438 pages format 14X21.

 

(Fiction en liaison avec la guerre d’Algérie).

 

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Histoire de la Seybouse   suite. Un vrai western de notre jeunesse au ciné. Les bons, les méchants et  la cavalerie.

A quelques semaines de là, en effet, soudainement, en plein mois de Juin 1851, par une chaleur  qui accablait tout le monde ; le proche centre de Barral qu’on appelait aussi Mondovi le haut, se réveilla sous le coup d’une terrible alerte. C’était les indigènes des tribus environnantes qui, après avoir commis des vols, massacré quelques ouvriers forestiers et incendié les récoltes, venaient de se soulever en masse du coté de Maison-Blanche, de l’autre coté de la Seybouse. Excités par les prédications de leurs marabouts, entrainés à la révolte par certains caïds traitres à leurs serments de fidélité à la France ; ils eurent bientôt passé la rivière pour s’attrouper à proximité du moulin de Barral, où leur audace prit le caractère d’une insurrection des plus sérieuses.

Pour tous moyens  défensifs, les colons ne possédaient que quelques fusils de chasse et fort peu de munitions. On peut donc juger de leurs craintes en voyant s’approcher des centaines de cavaliers en burnous, hurlants, menaçants, et suffisamment armés pour donner l’assaut à leurs remparts minuscules.

Devant un si grave danger, un des habitants du village cerné fut désigné pour enfourcher un cheval et aller à toute bride prévenir le commandant de la place de Bône de la situation critique où se trouvaient ces malheureux. Quelques heures  plus tard, l’autorité militaire devait envoyer sur les lieux un fort détachement de spahis sous les ordres du capitaine Mesmer, et d’un lieutenant qui par la suite, devint général.

Mais que faire en attendant l’arrivée de cette troupe ? Il fallait tenir tête tant bien que mal aux assaillants, et c’est alors qu’un colon barallois eut une idée vraiment originale. On ne connaissait pas encore la charrue fixe. Nous ne nous servions que de la charrue à avant-train qui se démontait facilement. Or, voici ce qu’imagina notre homme : Il hissa l’avant-train d’un de ces instruments sur l’un des bastions à créneaux de l’enceinte fortifiée et braque sur cet affut improvisé un long tuyau de poêle. Les arabes prirent cela pour une pièce d’artillerie et s’en tinrent éloignés le plus possible. Bien entendu, en voyant l’effet produit par cet épouvantail, d’autres colons eurent tôt fait de recourir au même stratagème ; ce qui augmenta la terreur des insurgés embusqués prudemment à une distance respectueuse de ces canons imaginaires. Pendant ce temps de répit, les spahis mandés de Bône arrivaient à fond de train. Je pus les voir débusquer à Mondovi, où toute la population était elle-même sur le qui-vive. Ah ! Le magnifique escadron ! Par la chaleur étouffante, les cavaliers rouges étaient couverts de poussière et leurs chevaux d’écume.

Au plus vite, on versa un verre de vin frais aux hommes ; on fit boire les bêtes, puis sur un commandement, tout le monde étant remonté en selle, le détachement repartit ventre  à terre dans la direction de BARRAL où il  était anxieusement attendu. Derrière lui, à marches forcées, accourait en outre une forte compagnie de fantassins.

Le capitaine Mesmer, emporté par sa bravoure et par l’élan de son cheval, meilleur coursier que tous les autres, entra le premier dans le village ; mais à peine laissa-t-il souffler sa monture. Sa troupe, regroupée, il se mit de nouveau à galoper en avant de l’escadron pour se porter à la rencontre des rebelles. Cette imprudence devait lui couter la vie. Avertis par leurs émissaires de la prochaine arrivée des spahis, les arabes avaient repassé la Seybouse pour se retrancher dans l’épaisse broussaille bordant la rivière .Dans cette embuscade où ils  se tenaient invisibles, armés de leurs  longs moukalas, ils attendaient les nôtres .En apercevant le capitaine isolé de ses hommes, ils le mirent en joue et le criblèrent de coups de feu. L’officier s’écroula sous cette décharge terrible, et ses cavaliers n’arrivèrent que pour disputer sa dépouille à ses meurtriers. Alors, fous de rage en voyant leur chef mort, les spahis résolus à le venger, se lancèrent à la poursuite des insurgés, en tuant un grand nombre et  faisant les autres prisonniers. Grace à cette offensive foudroyante, appuyée le lendemain par l’entrée en scène de 200 fantassins, Barral fut sauvé du péril qu’il avait couru ; car les révoltés avaient juré d’égorger tous les habitants. Après quoi ils se seraient rués sur Mondovi, où le même sort nous eût été réservé.

La suite voudrait que les méchants changent de camp. Il y a de la matière pour cela. On verra bien. Victor

 

 

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Tel est pris qui croyait prendre.

Mondovi  Barral   vers 1850. Petite histoire extraite de la revue la Seybouse n°70

Un beau matin, une grosse nouvelle courut de bouche en bouche. On annonçait le prochain passage à Mondovi du général Mac-Mahon, et après lui, du général Canrobert et du général Randon, alors gouverneur de L’Algérie. Quelques jours plus tard, ce fut l’arrivée à l’improviste de la colonne de Tourville ; forte de trois mille hommes de toutes armes, et qui fit une halte de vingt-quatre heures dans notre bled.

Ma sœur m’ayant demandé de lui prêter la main pour recevoir ces hôtes de marque, j’eus l’honneur de servir à table ces grands chefs militaires. Grand branle-bas, d’autre part, chez les habitants, heureux d’assister à ce brillant défilé de troupes ; et plus réjouis encore en songeant aux profits commerciaux à tirer d’une pareille affluence de soldats.

C’est à qui fit provision de denrées, boissons et comestibles. Il y en eut même qui, peu scrupuleux, saisirent cette occasion pour mettre passablement d’eau dans le vin débité aux combattants de notre armée d’Afrique. Est-il besoin de dire que ceux-ci, mangeant bien et lichant encore mieux, eussent préféré le boire naturel !

Mais, toute médaille a son revers. Pour montrer qu’ils n’étaient pas dupes de ce vilain procédé, beaucoup de nos  braves « zouzous » profitèrent de la cohue qui  régnait ce jour- là dans les auberges pour s’esquiver sans payer leur écot. On s’aperçut, en outre, que nombre de cuillères, serviettes et couteaux avaient disparu avec les consommateurs. Mais les « chacals de la colonne de Tourville ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin. La nuie venue, alors que la population tout entière, se régalait du coup d’œil que présentait le campement de ces trois mille hommes, avec ses tentes dressées et ses feux de bivouac allumés aux portes du village, l’arrière garde embusquée à l’intérieur des murs, opéra en silence dans les caves, les remises et les poulaillers ,la razzia complète des poules, oies ,pintades et canards. Tout y passa, jusqu’aux petits cochons de lait qui donnaient à leurs éleveurs les plus belle s espérances.

Le lendemain, il fallut entendre les cris de désolation et de malédiction poussés par les victimes de cette rafle nocturne. Décidément, le baptême du pinard avait fini par couter plus cher qu’il n’avait rapporté, non seulement aux aubergistes indélicats qui avaient vendu de l’eau rougie pour du jus de la vigne, mais encore aux colons honnêtes qui n’y étaient pour rien .

Quand aux troupiers, tambours battant et clairons sonnant, ils s’en allaient sac au dos ders Guelma et Constantine parachever l’œuvre de la conquête et pacifier les arabes dont la haine nous réservait encore de sanglantes surprises…. A suivre Inch Allah.

 

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ecusson-1956.jpg

Avis utile.

Chers amis anciens d’AFN et d’ailleurs, n’hésitez pas à vous faire vacciner contre la grippe

Eh oui ! c’est une corvée, mais combien utile et gratuite pour nous les anciens, souvenez vous de la nivaquine que nous devions prendre pour ne pas attraper le palu ?

Là aussi c’était une corvée et ceux qui ont eu le paludisme, faute de prendre ce médicament s’en souviennent  amèrement !

FM

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Blog des amis du 4RH

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"Blog d'un ancien sous officier d'active du 4e RH de 1956 à fin 1959. ce blog est un blog qui cherche à regrouper les anciens de ce régiment de la guerre d'Algérie à ceux à nos jours jusqu'en 2011. bienvenue à tous!"

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